2554/06/21

U-17 World Cup - Ça commence fort

U-17 World Cup - Ça commence fort

L'équipe de France des moins de 17 ans est parfaitement entrée dans sa compétition en venant à bout des Argentins (3-0), lors de son premier match du 1er tour du Mondial au Mexique. Les protégés de Patrick Gonfalone ont signé des débuts remarqués, qui demandent confirmation.


Buts: Yassine Benzia (35e et 45e) et Sébastien Haller (38e)

Les Bleuets ont parfaitement commencé cette Coupe du Monde des moins de 17 ans en écrasant l'Argentine (3-0). Dès les premières minutes, les Français ont dominé techniquement, physiquement et tactiquement la formation albiceleste. Les joueurs de Patrick Gonfalone ont joué le plus souvent en une touche de balle avec des joueurs de couloir qui ne cessent de monter. La première mi-temps a été totalement française, les occasions de buts se sont multipliées devant le but de Sequeira à l'image du raté du joueur du PSG, Abdellah Yaisien (10e). La délivrance est arrivée à la 35e lorsque Lenny Nangis insatiable tout le match sur son côté droit a mystifié son défenseur avec quelques passements de jambe avant de centrer pour le Lyonnais Yassine Benzia, qui a parfaitement ouvert son pied (1-0, 35e). Benzia a même réalisé un doublé après un magnifique passement de jambe suivi d'une frappe placée du droit (3-0, 45e). Mais le but de la soirée est pour l'Auxerrois Sébastien Haller après un enchaînement incroyable contrôle de la poitrine et reprise de volée, le portier argentin a pu admirer ce chef d'œuvre de près (2-0, 35e). 3-0 à la mi-temps, l'affaire est pliée.

En seconde période, Nangis et Yaisien ont continué de donner le tournis à la défense adverse alors que les deux buteurs ont été remplacés dans le dernier quart d'heure. Il semble loin le temps des doutes et de ce décevant Euro au mois de mai en Serbie. Les Bleuets avaient quitté la compétition en terminant troisième de leur groupe avec deux matchs nuls contre l'Angleterre (2-2) et la Serbie (1-1) et une défaite contre le Danemark (0-1). La France a séduit par son jeu rapide, sa puissance au milieu à l'image de l'inusable Souailho Meité qui n'hésite pas à porter le ballon rapidement vers l'avant avec très peu de déchets dans son jeu. Le prochain match pour les joueurs de Patrick Gonfalone aura lieu mardi soir contre le Japon (22h00), on espère celui de la confirmation.

Le onze de départ français: Lionel Mpazi Nzau (PSG) - Jordan Ikoko (PSG), Benjamin Mendy (Le Havre), Raphaël Calvet (Auxerre), Kurt Zouma (Saint-Etienne) - Adrien Tameze Aoutsa (Nancy), Souailho Meité (Auxerre), Abdallah Yasien (PSG) - Lenny Nangis (Caen), Sébastien Haller (Auxerre), Yassine Benzia (Lyon).

2554/06/19

Matches amicaux - Equipes nationales - "Ce n'est plus ZZ, c'est MM!"

Matches amicaux - Equipes nationales - "Ce n'est plus ZZ, c'est MM!"
Il n'aura fallu qu'un quart d'heure à Marvin Martin pour se faire un nom et entrer dans la cour des grands. Lundi en Ukraine (1-4), le néo-Bleu a marqué deux fois et réussi une passe décisive. Mieux qu'un certain Zinédine Zidane. Ses partenaires n'ont pas manqué de lui rappeler...

Marvin Martin ne se faisait pas d'illusion lundi soir en zone mixte. Encore plus qu'à l'accoutumée, le Sochalien savait que les bras de Morphée attendraient. D'un autre côté, Martin n'a pas besoin de s'endormir pour rêver ces derniers temps. Appelé en équipe de France pour la première fois de sa carrière il y a quelques jours, le Sochalien a réussi une entrée en scène fracassante à Donetsk. Entré en jeu à la 76e minute, le meilleur passeur de Ligue 1 a réussi un doublé et délivré une passe décisive pour Younès Kaboul. Mieux que Zinédine Zidane qui, pour sa première cape, s'était contenté d'un "simple" doublé face à la République tchèque (2-2).
Évidemment, dans les vestiaires et en zone mixte, les comparaisons avec l'ancien numéro 10 des Bleus ont fusé. "Ce n'est plus ZZ, c'est MM !", a lancé Yann M'Vila. "Yann, il ne faut pas l'écouter", a rétorqué le héros de la soirée, quelque peu gêné. "Après le match, tout le monde a crié chanté et applaudi. Le sélectionneur m'a également félicité. (...) Ils m'ont un peu parlé de Zidane. C'est très flatteur mais je ne veux pas me prendre la tête avec ça." Ce serait une erreur. Car Marvin Martin y est allé au culot lundi. A la spontanéité.

"Avant le match, le sélectionneur m'a dit de jouer comme je savais le faire",
a-t-il révélé après la partie. Résultat ? "Quand je suis entré, tout le monde m'a boosté et c'est venu tout seul." Lui, le roi de la passe décisive (17 en Ligue 1 cette saison) s'est chargé de faire trembler les filets. Seul comme un grand. "Les buts, les passes, moi j'aime les deux ! Le premier but, c'est celui que je préfère.
Le joueur est face à moi. Je fais un crochet, je rentre et je prends ma chance." Simple comme un coup de fil. En parlant de coup de fil d'ailleurs, le téléphone du Sochalien n'a pas arrêté de sonner...
"Ça doit venir un peu vite"
Ancien du club doubiste, Jérémy Menez était peut-être le plus heureux de ses coéquipiers lundi soir : "On était tous très content pour lui, ça doit venir un peu vite mais il l'a mérité. Je le connais depuis très longtemps, je sais ce qu'il est capable de faire. Tout le monde l'aime bien ici. C'est quelqu'un qui ne doute pas." Franck Ribéry, lui, a pris un petit coup de jeune et verse dans la nostalgie : "Tout ça me rappelle quand je suis arrivé en équipe de France en 2006."
De son côté, Eric Abidal a essayé d'éviter toute comparaison. Mais quand même... Quand on lui demande si Martin lui fait plutôt penser à Xavi ou Iniesta, le Barcelonais se lance : "C'est un mélange des deux, il percute, il est technique, fait des bonnes passes et a une belle vision de jeu." Surpris de découvrir un tel joueur ? Pas le moins du monde. "Je l'avais déjà vu jouer avec son équipe. Il a démontré qu'il était à la hauteur. Le plus difficile est à venir. Il a commencé par un doublé. Maintenant, il est obligé de continuer." Maintenant, Laurent Blanc est obligé de le faire débuter en Pologne.
Maxime DUPUIS, envoyé spécial à Donetsk /


2554/06/16

Liga - Le Barça n'en peut plus du Real

Liga - Le Barça n'en peut plus du Real


maillot de foot BARCELONE
Le Barça a exigé du Real Madrid de ne plus "dépasser les limites" de la sportivité. Le club catalan l'a averti que, dans le cas contraire, "il serait dans l'obligation de rompre leurs relations". Les propos de Mourinho et les insinuations de dopage de Cadena Cope ont fait des dégâts.

"Barcelona, 16 de juny del 2011". Le communiqué, rédigé en catalan est tombé dans la boîte mail des journalistes du monde entier jeudi vers 15 heures.
Il a fallu peu de temps pour traduire et surtout comprendre que le Barça n'avait pas pris la plume pour rien. Avec à peine ce qu'il faut de diplomatie, et surtout une fermeté communicative, le champion d'Espagne et vainqueur de la dernière Ligue des champions s'en est pris jeudi au Real Madrid, de façon inattendue, par ce texte, et par l'intervention de son président en conférence de presse Avec un message simple : surtout, ne pas recommencer ce qu'il a fait en 2011. "Le Real Madrid et le FC Barcelone sont des institutions centenaires, avec de nombreux supporters, passionnés" mais si "les limites sont dépassées, nous serons dans l'obligation de rompre nos relations institutionnelles, ce qui nous ne souhaitons en aucune manière", a explicité le président Sandro Rosell lors d'une conférence de presse.
Après avoir tiré le bilan "de la meilleure saison sportive de l'histoire du club" avec quinze titres conquis, "ce qui fait que nos équipes sont applaudies et admirées dans le monde", il a affirmé: "le Real Madrid a dépassé les limites de la nécessaire rivalité sportive en portant des accusations contre notre club, sans aucun fondement". Ou encore : "La rivalité continuera la saison prochaine mais nous ne permettrons pas qu'elles passent les bornes de la sportivité". Le dirigeant se référait aux "nombreuses provocations", dont le Barça a fait l'objet de la part d'une partie de la presse madrilène, ainsi que du Real Madrid et de son entraîneur portugais José Mourinho.
"La démonstration de Wembley a été la réponse la plus forte"
En ligne de mire de cette colère froide, les déclarations de Mourinho ayant suivi la demi-finale retour de Ligue des champions (présumant une solidarité entre l'UEFA, les arbitres et le Barça) et un débat organisé en mars sur la radio Cadena Cope, qui avait porté des accusations de dopage contre le club catalan, s'étonnant de "la réputation douteuse" de certains médecins. Plusieurs joueurs de renom avaient, dans la foulée, subi un contrôle antidopage inopiné à la demande de l'UEFA. Selon le président, ces accusations contre des médecins et des joueurs "étaient préméditées et misérables" alors que "le club est un exemple de conduite pour des millions de personnes, en particulier des enfants".
Rien n'est spécialement venu appuyer ce climat de défiance ces derniers jours, sinon ce petit mot de Cristiano Ronaldo mardi : "Vous savez mieux que moi comment les choses se sont passées en Liga et en Ligue des champions. Nous n'allons pas en parler à nouveau car cela va provoquer un nouvel ouragan." L'ouragan aura finalement été ruminé par le Barça et recraché trois semaines après la finale de Wembley. "Comme, souvent, écrit le Barça, le football a remis tout le monde à sa place. La démonstration de Wembley a été la réponse la plus forte aux attaques reçues par le Barcelonisme.


2554/06/04

Qualif. Euro 2012 - La Biélorussie leur va si malven BIELORUSSIE-FRANCE : 1-1

Qualif. Euro 2012 - La Biélorussie leur va si malven

MailImprimerL'équipe de France a ramené un triste match nul de Biélorussie (1-1), neuf mois après une défaite au Stade de France (0-1) qui avait ouvert les qualifications pour l'Euro 2012. Les Bleus maintiennent quatre points d'avance sur les Biélorusses. Mais le contenu de leur match fut une déception énorme.
BIELORUSSIE-FRANCE : 1-1

 
Buts : Abidal (20e, c.s.c.) pour la Biélorussie et Malouda (22e) pour la France

Neuf mois après leur défaite au Stade de France (0-1), ils nous avaient promis qu'ils avaient changé. Mais les Bleus ont encore montré leur mauvais visage en ramenant un triste match nul de leurs retrouvailles avec la Biélorussie (1-1), à Minsk. En deux confrontations, ils n'auront donc pris qu'un point. L'occasion était pourtant belle de creuser l'écart en tête du groupe D. Un succès leur aurait quasiment ouvert les portes de la Pologne et de l'Ukraine, hôtes du prochain Euro 2012. Finalement, la France demeure à quatre longueurs de son adversaire du soir. La meilleure nouvelle est peut-être venue de Roumanie où les coéquipiers de Marica, auteur d'un doublé, ont maintenu la Bosnie-Herzégovine à distance en s'imposant 3-0. Sur le plan comptable, rien de catastrophique, d'autant plus que la série d'invincibilité des Français se prolonge (8 matches : 6 victoires, 2 nuls). Mais le contenu laissera plus d'un observateur sur sa faim, notamment Laurent Blanc.

La défense orpheline de Mexès
Face à la 53e nation Fifa, les Tricolores ont souffert et n'ont pas montré grand chose. Dans un mois de juin qui ne leur réussit plus (2 victoires en 11 matches depuis 2008), le sélectionneur avait pourtant pointé du doigt les écueils à éviter : risque de décompression et manque de rythme dans un effectif où certains éléments n'avaient plus goûté à la compétition depuis plusieurs semaines. Mais ses joueurs tombaient dans le panneau. Ils pourront notamment regretter leur entame de match timide, logiquement sanctionnée par le but contre son camp inscrit par le malheureux Abidal (20e). Le défenseur de Barcelone, près de trois mois après son opération d'une tumeur au foie, symbolisait malgré lui la difficulté des Bleus à entrer dans le match. Heureusement pour lui, Florent Malouda sonnait tout de suite la révolte sur un service de Benzema (22e), peut-être le joueur le plus en vue, évitant une défaite qui aurait fait désordre. Mais il n'y aura pas d'autre réaction.

L'ombre de Philippe Mexès planait également sur le Dynamo Stadium. En l'absence du futur Milanais, gravement blessé au genou gauche, la défense était sérieusement secouée et maladroite à la relance. Titularisé pour la première fois, le jeune Parisien Mamadou Sakho (21 ans) se montrait assez naturellement fébrile avant de trouver peu à peu ses marques. A ses côtés, Rami apparaissait également emprunté dans un rôle de patron de la défense qu'il ne connaît pas en sélection. La seule bonne note sera peut-être le positionnement de Franck Ribéry à gauche. Le souhait du Bavarois a finalement exhaussé, reléguant Malouda sur le côté droit où il a inscrit son 6e but en Bleu. Sans ça, Laurent Blanc aurait eu un problème de plus sur les bras. Finalement, le pire a été évité. Mais, pour la qualification, il faudra encore attendre. Le patron des Bleus aura justement deux matches amicaux, prévus lundi en Ukraine et jeudi en Pologne, pour faire des essais et éclaircir l'horizon.
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Name and Number available

list of player name:
BENZEMA #10
GOURCUFF #8
MALOUDA #15
NASRI #11
RIBERY #7
SAGNA #2
VALBUENA #20
DIARRA #18








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